Weiji
Comment des citoyen·ne·s ont profité de la crise du coronavirus pour développer très rapidement des solutions inspirantes et durables.
5 épisodes diffusés sur RTS1 et TV5 Monde, sur les opportunités écologiques liées à la crise du COVID.
J'ai super changé mon supermarché - Episode 1
À Nyon, l’automne dernier, des jeunes de la région fondaient une épicerie participative. Quelques mois plus tard, la crise sanitaire menaçait la survie de plusieurs commerces, dont le leur. Face à ce danger, ils n'ont pas abandonné; au contraire, ils ont tout simplement relevé leurs manches et ont créé quelque chose de beau et durable.
À Nyon, l’automne dernier, des jeunes de la région fondaient une épicerie participative. Quelques mois plus tard, la crise sanitaire menaçait la survie de plusieurs commerces, dont le leur. Face à ce danger, ils n'ont pas abandonné; au contraire, ils ont tout simplement relevé leurs manches et ont créé quelque chose de beau et durable.
À Nyon, l’automne dernier, des jeunes de la région fondaient une épicerie participative. Quelques mois plus tard, la crise sanitaire menaçait la survie de plusieurs commerces, dont le leur. Face à ce danger, ils n'ont pas abandonné; au contraire, ils ont tout simplement relevé leurs manches et ont créé quelque chose de beau et durable.
À Nyon, l’automne dernier, des jeunes de la région fondaient une épicerie participative. Quelques mois plus tard, la crise sanitaire menaçait la survie de plusieurs commerces, dont le leur. Face à ce danger, ils n'ont pas abandonné; au contraire, ils ont tout simplement relevé leurs manches et ont créé quelque chose de beau et durable.
À Nyon, l’automne dernier, des jeunes de la région fondaient une épicerie participative. Quelques mois plus tard, la crise sanitaire menaçait la survie de plusieurs commerces, dont le leur. Face à ce danger, ils n'ont pas abandonné; au contraire, ils ont tout simplement relevé leurs manches et ont créé quelque chose de beau et durable.
À Nyon, l’automne dernier, des jeunes de la région fondaient une épicerie participative. Quelques mois plus tard, la crise sanitaire menaçait la survie de plusieurs commerces, dont le leur. Face à ce danger, ils n'ont pas abandonné; au contraire, ils ont tout simplement relevé leurs manches et ont créé quelque chose de beau et durable.
Il a plus de dix ans, Endre Horvath intégrait un projet de recherche sur la purification d’eau par l’énergie solaire. En mars dernier, la covid a forcé l’EPFL à fermer ses portes et ce projet a été mis sur la glace. Ce jeune doctorant d’origine hongroise n’a pas baissé les bras; au contraire, il a réorienté ses expériences afin de créer des masques réutilisables jusqu'à 1000 fois.
Il a plus de dix ans, Endre Horvath intégrait un projet de recherche sur la purification d’eau par l’énergie solaire. En mars dernier, la covid a forcé l’EPFL à fermer ses portes et ce projet a été mis sur la glace. Ce jeune doctorant d’origine hongroise n’a pas baissé les bras; au contraire, il a réorienté ses expériences afin de créer des masques réutilisables jusqu'à 1000 fois.
Il a plus de dix ans, Endre Horvath intégrait un projet de recherche sur la purification d’eau par l’énergie solaire. En mars dernier, la covid a forcé l’EPFL à fermer ses portes et ce projet a été mis sur la glace. Ce jeune doctorant d’origine hongroise n’a pas baissé les bras; au contraire, il a réorienté ses expériences afin de créer des masques réutilisables jusqu'à 1000 fois.
Il a plus de dix ans, Endre Horvath intégrait un projet de recherche sur la purification d’eau par l’énergie solaire. En mars dernier, la covid a forcé l’EPFL à fermer ses portes et ce projet a été mis sur la glace. Ce jeune doctorant d’origine hongroise n’a pas baissé les bras; au contraire, il a réorienté ses expériences afin de créer des masques réutilisables jusqu'à 1000 fois.
Il a plus de dix ans, Endre Horvath intégrait un projet de recherche sur la purification d’eau par l’énergie solaire. En mars dernier, la covid a forcé l’EPFL à fermer ses portes et ce projet a été mis sur la glace. Ce jeune doctorant d’origine hongroise n’a pas baissé les bras; au contraire, il a réorienté ses expériences afin de créer des masques réutilisables jusqu'à 1000 fois.
Il y a quelques années, Jeoffrey Cattin et Ophélie Caillet intégraient des chambres d’hôtes à leur ferme laitière bio. Cette année, tout juste avant le début du printemps, toutes leurs activités touristiques ont dû être stoppées pour une durée indéterminée. Ce couple inventif a eu plus d’un tour dans son sac pour survivre à la crise sanitaire, et récolte maintenant les fruits de sa débrouillardise.
Il y a quelques années, Jeoffrey Cattin et Ophélie Caillet intégraient des chambres d’hôtes à leur ferme laitière bio. Cette année, tout juste avant le début du printemps, toutes leurs activités touristiques ont dû être stoppées pour une durée indéterminée. Ce couple inventif a eu plus d’un tour dans son sac pour survivre à la crise sanitaire, et récolte maintenant les fruits de sa débrouillardise.
Il y a quelques années, Jeoffrey Cattin et Ophélie Caillet intégraient des chambres d’hôtes à leur ferme laitière bio. Cette année, tout juste avant le début du printemps, toutes leurs activités touristiques ont dû être stoppées pour une durée indéterminée. Ce couple inventif a eu plus d’un tour dans son sac pour survivre à la crise sanitaire, et récolte maintenant les fruits de sa débrouillardise.
Il y a quelques années, Jeoffrey Cattin et Ophélie Caillet intégraient des chambres d’hôtes à leur ferme laitière bio. Cette année, tout juste avant le début du printemps, toutes leurs activités touristiques ont dû être stoppées pour une durée indéterminée. Ce couple inventif a eu plus d’un tour dans son sac pour survivre à la crise sanitaire, et récolte maintenant les fruits de sa débrouillardise.
Il y a quelques années, Jeoffrey Cattin et Ophélie Caillet intégraient des chambres d’hôtes à leur ferme laitière bio. Cette année, tout juste avant le début du printemps, toutes leurs activités touristiques ont dû être stoppées pour une durée indéterminée. Ce couple inventif a eu plus d’un tour dans son sac pour survivre à la crise sanitaire, et récolte maintenant les fruits de sa débrouillardise.